Johann Wolfgang Goethe

"Cuán insensato es el hombre que deja transcurrir el tiempo estérilmente."

Wednesday, February 29, 2012


Breathe



I miss those blue eyes
How you kissed me at night
I miss the way we see
Like there's no sunrise
The taste of your smile
I miss the way we breathe

But i never told you
What i should have said
No i never told you
I just held it in

And now i miss everything
About you
I cant believe i still want you
After all the things we've
Been through
I miss everything about you
Without you

I see your blue eyes
Every time i close mine
You make it hard to see
Where i belong to when im not
Around you
Its like im gone with me

Take all the risks

Smile more than you cry,
Give more than you take,
And love more than you hate.


Everyone's afraid of something, 
that's how you know you care about things,
when you're afraid you'll lose them.


"IT'S IMPOSSIBLE," said Pride.
"IT'S RISKY," said experience.
"IT'S POINTLESS," said reason.
"GIVE IT A TRY," said the heart.



Monday, February 27, 2012

Enjoy



Entre lagunas negras me topé con la conciencia; tan solitaria y aterrada por mi súbito abandono me dijo:
- Sois joven bella doncella, disfrutad de vuestra belleza e inteligencia. Han de llegar buenos presagios, y sólo llegarán cuando sepáis surcar estas aguas brunas, y vaguéis por el buen camino.


No supe qué responder, sin embargo, mis pupilas dilatadas dejaron asomar mis pensamientos.


- Tiene usted razón conciencia, pues, me he dejado llevar por emociones infames, y ahora soy consciente de la crueldad humana. Así es que, extiendo mi camino plagado de verde yerba y estrías que atravesar sin miedo.




Hurt pass


What hurts the most, it's being so close. But, it's time to carry on and live all the things that are waiting to me.
I'm fine, just, a young girl who wants the better and  with effort and perseverance, her life it's wonderful.

The best relationship is when you two can act like lovers and best friends. It's when you have more playful moments than serious moments. It's when you can joke around, have unexpected hugs, and random kisses. It's when you two vive each other that specific stare and just smile. It's when you"ll rather chill inside to watch movies, eat junk food, and cuddle than go out all the time. It's when you"ll stay up all night just settle your arguments and problems. It's when you can completely act yourself and they can still love you for who you are.

Oscar 2012 alfombra roja Vanity Fair: Diane Kruger de Calvin Klein | Galería de fotos 1 de 34 | Vogue

Oscar 2012 alfombra roja Vanity Fair: Diane Kruger de Calvin Klein | Galería de fotos 1 de 34 | Vogue

Sunday, February 26, 2012

Happiness

Esa sensación de cruda y ardiente rebeldía contra la insensatez y la resignación.
Ganas de respirar aire renovado, de sentir los rayos de sol cubriéndote el rostro; escuchar el susurro del viento acompasado junto a tu respiración al correr...


Atardecer en una terraza, junto a un buen amigo.
Sentir que vuelves a ser tú misma, y gritar de alegría en silencio (para que nadie se asuste).


Estoy expectante, explosiva e incesante. 


Gracias, sin vosotros, nada sería lo mismo.


Dibujar, leer, correr, reír, bailar, charlar, dialogar, debatir, razonar, sonreír, cantar, bostezar, dormir, soñar, abrazar, observar, contemplar, viajar, conducir, escribir, recordar, fotografiar, beber, comer, picar, cicatrizar, explorar, investigar, curiosear, filosofear, documentarme, analizar, cuestionarme, cuestionar, redimir, aprender, desaprender, recordar, ver, emocionarme, estirar, responsabilizarme, crecer, madurar.



Lady Dior The Film


Saturday, February 25, 2012

Camus said that life is the sum of our choices. Choose wisely and fortune smiles upon you. But choose poorly? You never know what price you'll have to pay.

We all like to think that we're in the driver's seat of our own lives. But the truth is, the idea that we can control our fate is an illusion. You can choose the most loyal friends, the dream job, the truest love.

But at the end of the day, our fate is decided for us. All we can do is hope we have the strength to cope with the hand she deals us.

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Camus dijo que la vida es la suma de nuestras elecciones. Elige con cuidado y la fortuna te sonreirá. Pero, ¿y si eliges mal? Nunca se sabe qué precio tendrás que pagar.


A todos nos gusta pensar que estamos en el asiento del conductor de nuestras propias vidas. Pero la verdad es que la idea de que podemos controlar nuestro destino es una ilusión. Puedes elegir los amigos más fieles, el trabajo ideal, el verdadero amor.


Pero al final del día, nuestro destino está decidido para nosotros. Todo lo que podemos hacer es esperar a tener la fuerza para hacer frente a la mano que nos ocupa.
Déjame que te hable también con tu silencio.
claro como una lámpara, simple como un anillo.
Tu silencio es de estrella, tan lejano y sencillo.


Distante y doloroso como si hubieras muerto.
Una palabra entonces, una sonrisa bastan.
Y estoy alegre, alegre de que aún quede,
una posibilidad dentro de toda improbabilidad. 



Madrid, 1987

He ido marcando con cruces de fuego
el atlas blanco de tu cuerpo.
Mi boca era una araña que cruzaba extendiéndose.
En ti, detrás de ti, temerosa, sedienta.


Historias que contarte a la orilla del crepúsculo,
Un cisne, un árbol, algo lejano y alegre.
El tiempo de las uvas, el tiempo maduro y frutal.


Yo que viví en un puerto desde donde te amaba.
La soledad cruzada de sueño y de silencio.
Acorralada entre el mar y la tristeza.
Callada, delirante, entre dos gondoleros inmóviles.


Entre los labios y la voz, algo se va muriendo.
Algo con alas de pájaro, algo de angustia y olvido.

L'inégalité

Le Discours de Rousseau sur l’inégalité est l’une des critiques les plus puissantes de la modernité jamais écrites. Rousseau y décrit les ravages de la modernité sur la nature humaine : civilisation et inégalité sont imbriquées selon le penseur genevois.

Ce discours, contrairement à un essai, est écrit d’une plume passionnée, voire impétueuse à certains moments, faisant de sa lecture un vrai plaisir.

En termes de méthodologie, Rousseau retrace l’aventure de l’humanité depuis son origine (mais en dehors de tout cadre religieux), la peint dans son état de nature pour mieux comprendre comment l’humanité, décadente selon lui, en est arrivée là.

Rousseau distingue deux types d’inégalité: naturelle (ou physique) et morale. L’inégalité naturelle découle de différences d’âge, de santé, ou d’autres caractéristiques physiques. L’inégalité morale est établie par une convention des hommes. Rousseau va donc explorer d’où vient cette convention. Pour y parvenir, Rousseau a recours à une expérience de pensée, l’état de nature, qui ne constitue donc pas une vérité historique.

Première partie du Discours sur l’origine des inégalités

Rousseau décrit l’homme à l’état naturel : c’est un être fort, agile, plus faible mais plus organisé que les animaux de son environnement. Son corps est son seul outil et sa seule arme (Rousseau dit même que l’homme de la civilisation serait facilement battu par l’homme naturel dans un combat). Dépouvru de sens moral, l’homme naturel ni connaît ni le bien ni le mal, c’est un être infra-moral (Rousseau réfute ainsi le vice attribué par Hobbes à l’homme de la nature). Sa pensée est composée d’opérations simples. Il n’a que peu de besoins, et pour cela il parvient facilement à les satisfaire. Ses passions sont celles de la nature : la nourriture, le sexe et le repos sont les seules choses bonnes pour lui et ses seuls maux sont la douleur et la faim. Il n’y a aucune raison pour que l’homme sauvage cesse d’être sauvage. Le sauvage est un être naïf, autosuffisant et pacifique. Cependant, le sauvage ressent de la pitié, source d’empathie, contrairement à l’homme civilisé dominé par l’amour-propre et l’égoïsme.

L’homme naturel est ainsi équilibré par ses deux tendances, la pitié (qui le pousse vers les autres) et l’auto-conservation (qui l’isole). Dans l’état civil, les lois et les vertus joueront les rôles de ces deux instincts.

Ainsi, l’inégalité est à peine perceptible dans l’état de la nature.

En de nombreux points, le sauvage ressemble aux animaux, à l’exception de sa faculté à se perfectionner. Cette perfectibilité sera la source de sa sortie de l’état naturel et la cause de son malheur, selon Rousseau. L’homme est avant tout un animal. Il étudie donc l’homme sous deux formes : son aspect physique puis son aspect moral et psychologique.

Rousseau décrit également l’évolution de la langue : cri de la nature au départ, la langue évolue car les ses idées sont plus complexes. Ainsi, les premiers mots utilisés avaient des significations plus qu’aujourd’hui, la langue se spécialise ainsi au fur et à mesure de son développement. La langue, au départ pratique devient peu à peu métaphysique et abstraite.

Voltaire caricaturera ce mythe du bon sauvage, pensant que Rousseau voulait faire régresser l’humanité, ce qui est faux. L’état de nature chez Rousseau n’est qu’une fiction théorique, un artefact intellectuel pour comprendre d’où vient l’homme. Il ne s’agit donc pas d’un projet.
Seconde partie du Discours sur l’origine des inégalités

Si la première partie du discours est une reconstruction minutieuse de l’homme naturel, la seconde partie est une exploration des racines de l’inégalité :

« Le premier qui ayant enclos un terrain s’avisa de dire : Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d’horreurs n’eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables : “Gardez-vous d’écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous et que la terre n’est à personne!” Mais il y a grande apparence qu’alors les choses en étaient déjà venues au point de ne plus pouvoir durer comme elles étaient : car cette idée de propriété, dépendant de beaucoup d’idées antérieures qui n’ont pu naître que successivement, ne se forma pas tout d’un coup dans l’esprit humain : il fallut faire bien des progrès, acquérir bien de l’industrie et des lumières, les transmettre et les augmenter d’âge en âge, avant que d’arriver à ce dernier terme de l’état de nature. [...] La métallurgie et l’agriculture furent les deux arts dont l’invention produisit cette grande révolution. Pour le poète, c’est l’or et l’argent, mais pour le philosophe ce sont le fer et le blé qui ont civilisé les hommes, et perdu le genre humain. »


C’est donc la propriété, l’usurpation qui a crée et institutionnalisé l’inégalité entre les hommes. Le travail, et l’oppression qui en découle, est la conséquence de la propriété. L’institution de la propriété est le début de l’inégalité morale, parce que si les hommes peuvent “posséder” les choses, alors les différences de « patrimoine » sont sans rapport avec les différences physiques. Cependant, Rousseau ne dénonce pas en soi la propriété (comme le fera l’anarchiste Bakounine), il dénonce les inégalités de propriété.

Rousseau explique les grandes phases de l’évolution technologique (métallurgie et agriculture) et son influence sur la psychologie humaine. L’amour conjugal, la coopération et en particulier la création de rôles entre les sexes (qui rend les femmes soumises aux hommes, sont des sources d’inégalité.

A ce stade, si l’homme naturel était régi par le besoin, l’homme civilisé vit de loisir puisque la coopération et la division des tâches libère son temps. Les arts se développent, certes, mais les rapports humains sont fondés désormais sur l’intérêt et non plus la pitié.

La propriété institue des classes, des conflits entre riches et pauvres car le propriétaire agit comme s’il possédait les travailleurs. La solution à ce conflit est un contrat, proposé par les riches aux pauvres, pour former des sociétés politiques. Les pauvres sont persuadés que, en acceptant la création d’une société politique, ils seront libres en sécurité et de préserver leur liberté. Mais selon Rousseau, il s’agit d’un assujettissement : « L’homme est né libre et partout il est dans les fers ».On voit ainsi en quoi le Discours sur l’origine des inégalités annonce le Contrat Social.

Conclusion sur le Discours sur l’origine des inégalités

Rousseau dresse un portrait très sévère de la modernité. Son pessimisme historique (l’histoire signifie décadence) se marie avec un optimisme anthropologique (l’homme est naturellement bon). L’iéngalité provient de la propriété, mais la croissance de l’inégalité est due au développement de l’esprit humain.

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El Discurso de Rousseau sobre la desigualdad es una de las críticas más fuertes de la modernidad que se han escrito. Rousseau describe los estragos de la modernidad en la naturaleza humana y la desigualdad de la civilización,  están anidados de acuerdo con el pensador ginebrino.

Este discurso, a diferencia de un juicio, está escrito con una pluma apasionada, ardiente, incluso, a veces, su lectura es un placer.

En cuanto a la metodología, Rousseau narra el viaje de la humanidad desde su origen (pero fuera de cualquier contexto religioso), las pinturas en su estado de naturaleza para comprender mejor cómo la humanidad, decadente, según él, llegó allí .

Rousseau distingue dos tipos de desigualdad: natural (o física) y moral. La desigualdad natural se deriva de las diferencias de edad, la salud, u otras características físicas. La desigualdad moral es establecida por una convención de los hombres. Rousseau por lo tanto, explorar el origen de esta convención. Para lograr esto, Rousseau utiliza un experimento mental, el estado de naturaleza, que no es tanto una verdad histórica.

Primera parte del Discurso sobre la desigualdad

Rousseau describió al hombre en la naturaleza: se trata de un ser ágil, fuerte, más pequeño pero más organizado que los animales en su medio ambiente. Su cuerpo es su única herramienta, y su única arma (incluso Rousseau dijo que el hombre de la civilización sería fácilmente derrotado por el hombre natural en una pelea). Desposeído de sentido moral, el hombre natural no conoce ni el bien ni el mal, que es un sub-moral (y viceversa, Rousseau está contra el concepto de la naturaleza humana de Hobbes). Su pensamiento se compone de operaciones simples. Él tiene pocas necesidades, y busca la forma de que se las arregle fácilmente para satisfacerlas. Sus pasiones son las de la naturaleza: la comida, el sexo y el descanso son las únicas cosas buenas para él y sus males sólo son el dolor y el hambre. No hay ninguna razón por la cual el hombre salvaje deja de ser salvaje. El salvaje es uno. Ingenuo, autosuficiente y pacífico. Sin embargo, el sentimiento natural de compasión, la empatía de origen, al contrario del hombre civilizado, se ve dominado por la vanidad y el egoísmo.

El hombre natural está bien equilibrado de sus dos tendencias, compasión (que empuja a la otra) y la preservación de sí mismo (que aísla). En el estado civil, las leyes y las virtudes juegan el papel de estos dos instintos.

Así, la desigualdad es apenas perceptible en el estado de la naturaleza.

En muchos aspectos, similar a los animales salvajes, excepto por su capacidad para mejorar. Esta será la fuente de la perfectibilidad de salir del estado natural y la causa de su desgracia, según Rousseau. El hombre es fundamentalmente un animal. Así que estudió al hombre en dos formas: la apariencia física y su moral y psicología.

Rousseau también describe la evolución del lenguaje: grito de la naturaleza, en primer lugar, el lenguaje está cambiando debido a que sus ideas son más complejas. Por lo tanto, las primeras palabras que se utilizan hoy en día más, tienen sentido; el lenguaje se especializa a medida que se desarrolla. El lenguaje, en un principio y en la práctica, poco a poco se convierte en abstracto y metafísico.

Voltaire caricaturizó el mito del buen salvaje, pensando que Rousseau quería retroceder la humanidad, lo que está mal. El estado de naturaleza de Rousseau es una ficción teórica, un artefacto intelectual para comprender el origen del hombre. Por consiguiente, no un proyecto.


La segunda parte del Discurso sobre la desigualdad

Si la primera parte del discurso es una meticulosa reconstrucción del hombre natural, la segunda parte es una exploración de las raíces de la desigualdad:

"El primero que, habiendo cercado un terreno se cree que de decir esto es mío, y encontró gente lo suficientemente simple para creer, fue el verdadero fundador de la sociedad civil. ¿Qué crímenes, guerras, asesinatos, qué miserias y horrores no habría salvado a la raza humana que, arrancando las estacas o saliendo de la zanja, había gritado a sus semejantes: "Guardaos de escuchar a este impostor, estáis perdidos si olvidáis que los frutos son de todos y que la tierra no pertenece a nadie "Pero no hay gran probabilidad de que entonces las cosas habían llegado ya al punto de no ser capaz de durar como estaban, porque esta idea de la propiedad, en función de muchas ideas anteriores que han surgido sucesivamente, no se formó de repente en la mente humana: que tenía que hacer muchos progresos, adquirir buena parte de la industria y de las luces, y aumentar la transmisión de edad en edad, antes de llegar al final de este último estado de la naturaleza. [...] La metalurgia y la agricultura fueron las dos artes cuya invención se produjo en esta gran revolución. Para el poeta es el oro y la plata, pero para el filósofo es el hierro y el trigo que tienen los hombres civilizados y arruinaron la raza humana. "


Se trata de la propiedad, el robo que ha creado e institucionalizado la desigualdad entre los hombres. El trabajo y la opresión de los resultados es una consecuencia de la propiedad. La institución de la propiedad es el principio de la desigualdad moral, porque si la gente puede "poseer" las cosas, entonces las diferencias de "patrimonio" no están relacionadas con diferencias físicas. Sin embargo, Rousseau no denuncia a la propiedad en sí (al igual que el anarquista Bakunin), denunció la desigualdad de la propiedad.

Rousseau explica las fases más importantes de los cambios tecnológicos (metalurgia y la agricultura) y su influencia en la psicología humana. El amor conyugal, la cooperación y, en particular el establecimiento de los roles de género (lo que hace a las mujeres subordinadas a los hombres, son las fuentes de la desigualdad).

En esta etapa, si el hombre natural se rige por la necesidad, el hombre civilizado de la vida de ocio como la cooperación y la división del trabajo libera su tiempo. Las artes prosperan, por supuesto, pero las relaciones humanas están basadas en el interés más que en la compasión y la ayuda.

Establece las clases de propiedad, los conflictos entre ricos y pobres, ya que el propietario actúa como si los trabajadores poseyeran. La solución a este conflicto es un contrato, propuesta por los ricos a los pobres, para formar sociedades políticas. Los pobres confían en que, al aceptar la creación de una sociedad política, que será libre y segura para preservar su libertad. Sin embargo, según Rousseau, es una responsabilidad: "El hombre nace libre y en todas partes se encuentra encadenado." Esto muestra cómo el Discurso sobre la desigualdad anuncia el Contrato Social.

Conclusión del discurso sobre el origen de la desigualdad

Rousseau representa la modernidad de forma perversa. Su pesimismo histórico (la historia de la decadencia de los medios) se casó con optimismo antropológico (el hombre es bueno por naturaleza). La desigualdad proviene de la propiedad, pero el crecimiento de ésta se debe al desarrollo del espíritu humano.
Puentes: arcos de acero azul adonde vienen
a dar su despedida los que pasan
-por arriba los trenes,
por abajo las aguas-,
enfermos de seguir un largo viaje
que principia, que sigue y nunca acaba.
Cielos-arriba-, cielos,
y pájaros que pasan 
sin detenerse,caminando como 
los trenes y las aguas.







Friday, February 24, 2012

HAKUNA MATATA





No hay día más perdido que aquél en el que no hemos reído

Wednesday, February 22, 2012

Y es que, hay muchas cosas, como los recuerdos, los pensamientos, los sentimientos, que NO se pueden enterrar.
Sin embargo, se esfuman.

Monday, February 20, 2012

So little to say but so much time
Despite my empty mouth the words are in my mind
Please wear the face the one where you smile
Because you lighten up my heart when i start to cry
Forgive me first love but i'm tired


I need to get away to feel again


Try to understand why

Don't get so close to change my mind


Please wipe that look out of your eyes
It's bribing me to doubt myself
Simply it's tiring


This love has dried up and stay behind
And if i stay i'll be alive
Then choke on words i'd always hide
Excuse me first love but we're through


I need to taste the kiss from someone new.

Don't You Remember



[...]the reason you loved me.
When the last time, you go to me...
I often think about...
The more I do, the less I know.

Una historia con la que me identifico

Aurélie, propietaria de un pequeño restaurante en París, destrozada porque su novio le acaba de abandonar, encuentra por casualidad un libro, La sonrisa de las mujeres, que no sólo le salva la vida, sino que... cuenta su propia vida. Encantada e intrigada, contacta con la editorial, deseosa de conocer al autor, pero allí se topa con un adusto editor que, incomprensiblemente, no hace más que poner absurdas pegas para que no se produzca el encuentro de Aurélie con el misterioso escritor.



Libro recomendado por una mujer especial.

Sunday, February 19, 2012

What hurts the most was being so closed

People change, memories don't

It's about forgiveness, the feeling of being disappointed about the acts you had commit and now,  maybe it's too late. 
Memories are the best on those moments, remember the smile you get when he was next to you, and the words you said (and thoughts on your mind, keeping them in secret)...





The reality is that, people always change, even you tried to settle the mistakes, it's over. 
Now, i can say, goodbye, nice to meet you, and be happy. You're and incredible man, and i'll never forget the moments we lived together. 
The question is: if the time pass, and one day you decide to come back, what would be my answer?
Don't matter, this is not probably. 








Saturday, February 18, 2012




Esperar y esperar, en eso consiste el día a día para todos.
Se trata de que las cosas lleguen en el momento que menos te lo esperas.
De darte cuenta, que has esperado mucho tiempo hasta darte cuenta de la gente que te rodea: lo que valen, lo que te aportan, la forma en la que hacen que tu vida se llene de matices diferentes.
Sorprenderte porque a tu al rededor un círculo de amistades te acoge con todo su cariño y nunca dejan de soltar tu mano al caminar.

He dejado de desconfiar de ellos, me han demostrado que cuando más les necesitas, ellos van a por tí y hacen que dejes de fingir esa sonrisa que nunca quieres desenmascarar.
Ella se configura sola, te brillan los ojos de nuevo, y te emocionas.
Te emocionas porque ha costado tiempo, y te has dado cuenta de que han valorado de forma exorbitante cada hecho, cada conversación, cada gesto que has tenido hacia ellos; ahora me responden de la misma forma, multiplicada por infinito.

No tengo más que decir: GRACIAS, a los que me rodean.
En especial a M, que a las 4am, aún sin que yo diga nada, ella sabe que estoy despierta y me habla, me llama para escucharme y me hace reír de la forma más tonta.


Thursday, February 16, 2012

Damn

Que la amargura se esfume como el humo de tus caladas, 
y puedas ver la belleza que te constituye, que te cierne ante el mundo, y así comértelo a gusto.
Disfrutar de cara peripecia como si no hubiese nada más después. NADA.
Fúmate los instantes hasta que lleguen a tus pulmones y los llenen de oxígeno revitalizante.


Respira ese oxígeno, verás qué sensación más placentera.


Y es que, actúas, te motivas y ya no cesas de disfrutar.






Sí, es hora de bailar y quemar calorías de odio, rencor y rabia.
Liberar endorfinas, sentirte hermosa y mostrárselo al mundo.









«El mundo es grande pero la amistad es inmensa».
«Demasiado tarde es un concepto que sólo se aplica a las cosas que ya son definitivas».
«Y, recuperando los gestos del pasado, lo rozó los labios con las yemas de los dedos antes de besar».
«Todos encontramos buenas excusas para no permitirnos amar, por miedo a sufrir, por miedo a que un día nos abandonen. Y sin embargo, cuánto amamos la vida, pese a saber que algún día nos abandonará».
«La memoria es una artista extraña, redibuja los colores de la vida, borra lo mediocre y sólo conserva los trazos más hermosos, las curvas más conmovedoras».
«— ¿Crees que algún día se deja de sufrir por amor? —preguntó Julia en el umbral de la puerta.— ¡ Si tienes suerte, nunca!»
«Lo que más daño hace en el amor es la cobardía».
«Uno puede echarle la culpa de todo a su infancia, culpar indefinidamente a sus padres de todos los males que padece, de las pruebas a las que lo somete la vida, de sus debilidades, de sus cobardías, pero a fin de cuentas es responsable de su propia existencia; uno se convierte en quien decide ser».


Wednesday, February 15, 2012

Where were you?




I'M BETTER OFF ON MY OWN.

You make me always feel better M.

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Pass


A veces tienes que reír a través de las lágrimas, para olvidar tu pasado y llenar de alegría tu nuevo presente.
Y es que te das cuenta de que la peor cobardía de un hombre es despertar el amor de una mujer sin tener la mínima intención de amarla...
Pero que quede claro: las oportunidades son como los amaneceres: si uno espera demasiado, se los pierde...
Nunca me he fijado en los defectos,  sino en los sentimientos.
Tengo la certeza de que, en este caso, no conseguir lo que uno quiere ha sido un golpe de suerte; dado que si alguien quiere seriamente ser parte de tu vida, hará hasta lo imposible por estar en ella (independientemente de los errores que cometas).
Estoy orgullosa de ser quien soy... y no ser lo que el resto quiere que sea...


Tuesday, February 14, 2012

Now, all I want is go back




Los caminos se bifurcan, cada uno toma una dirección pensando que al final los caminos se volverán a unir…
Desde tu camino ves a la otra persona cada vez más pequeña.
 En entonces cuando intentas recordar en qué momento comenzó todo y descubres que todo empezó antes de lo que pensabas…
Mucho antes…y es ahí justo en ese momento, cuando te das cuenta de que las cosas sólo ocurren una vez, y que por mucho que te esfuerces, ya nunca volverás a sentir lo mismo.

Un día particular

A las 7am mi padre le ha dejado un precioso ramo de rosas a su mujer y me ha dado un beso y un abrazo antes de partir.


Tras ver su espléndida sonrisa y sus lágrimas de emoción, ha decidido cogerse el día libre en el trabajo, para pasarlo junto a los dos amores de su vida.
Desayunando en la cama junto a ella, como dos niñas pequeñas, hemos terminado con una guerra de almohadas en la que por su puesto he caído antes. No hay quien para al torbellino que tengo como madre.






Poner la música a todo gas y bailar charlestone (sin saber), haciendo un ridículo perfecto; hablar sobre cómo nos sentimos en un día como este, en el que se supone que los enamorados han de mostrar su amor. Y es que el amor, se demuestra todos los días.
No sólo hoy.


Hoy es un día especial porque hacía tiempo que no me divertía tanto junto a ella, la persona que más me quiere y que cada palabra que pronuncia cobra un sentido esperanzador y lúcido, que no deja a nadie impasible.


Comeremos los tres en familia, y de postre pediré mi tan ansiada tarta de queso.


A las 18h, universidad: ponencia sobre el derecho de defensa. Tengo ganas ya de hablar delante de 90 personas, y dejarles atónitos porque ni llevo hoja ni pienso recitarles el Código Penal.


Y por supuesto, algo esencial en este día: felicitar el amor que siento, a la persona que siempre está ahí, que me habla para cualquier cosa (a veces cosas que aparentemente son irrelevantes, pero aún así me las cuenta y nos reímos); que cuenta conmigo para todo. 
Juntas hemos pasado desde hace dos años, los ratos más divertidos y locuaces jamás contados. 
M, una amiga que ha costado encontrar y llegó en el momento más inesperado; una de esas personas que te dan todo lo que tienen y no piden nada a cambio; una de esas personas que siempre te regala su mejor sonrisa y que si un día te nota diferente, se da cuenta, aunque se lo niegues. Te escucha, te entiende, te dice las cosas que no quieres oír, y sabes, que aunque estés a solas con ella, no hay mejor compañía para alegrarte el día que la suya.


Por eso y por mucho más, hoy es un día especial que quedará como siempre, grabado en mi memoria y en mi retina.





Monday, February 13, 2012


  • Encuentro al cigarrillo el placer perfecto. Es exquisito y te deja insatisfecho.
  • - ¿Siempre toma tanto interés por alguien que conoce?
  • - No todos los que conozco son tan interesantes.
  • No hay vergüenza en el placer, señor Gray. El hombre solo quiere ser feliz pero la sociedad quiere que sea bueno. Y cuando es bueno, rara vez es feliz. Pero cuando es feliz, siempre es bueno.
  • Ahora mismo con esta copa, clavo mi alma en el altar del diablo.
  • Para ti todo es posible, porque tienes las únicas dos cosas que valen la pena: Juventud y belleza.
  • "La gente se muere de sentido común, Dorian, perdiendo de un momento a la vez. La vida es un momento. El futuro no existe. Así que siempre haz que la llama arda tan brillante como puedas."
  • Es mejor que la vida. Siempre se verá de esa forma. Usted, señor Gray, me temo que no.
  • Lo bueno del matrimonio es que hace una vida de engaños absolutamente necesaria.
  • La conciencia es una palabra educada para decir cobardía.
  • La única manera de vencer a una tentación es sucumbir a ella.
  • Nunca se case, señor Gray. Es la única manera de mantener todas las ilusiones.
  • No deberías de creer todo lo que Harry dice. Él no lo hace.
  • "Puedo asegurarle que el placer es muy diferente de la felicidad. Algunas cosas son preciosas porque no duran para siempre."

What do you want?


Saturday, February 11, 2012

Llega el Lunes y no tienes ni la más mínima gana de abrir los ojos; llevas toda la noche sin dormir, y para tres o cuatro horas en las que tu conciencia a conseguido ausentarse, suena el maldito despertador con la dulce a la vez que amarga canción Someone Like You de Adele.
Haces el esfuerzo, te levantas, te lavas la cara y en el espejo ves esas ojeras que denotan las consecuencias de una noche repleta de emociones discontinuas.

Llegas al gimnasio y te encuentras con los amigos de siempre; te preguntan cómo vas, y respondes con un cálido bien y sonríes (para no cambiar la rutina). No tienes ganas de contarle a nadie lo que pueda sucederte, pues, siempre te has considerado lo suficientemente fuerte.
Soy de las personas que piensan que nada ni nadie puede robarles la sonrisa ni las ganas de vivir; que un mal trago se pasa y que cada día debe de aprovecharse sin dejar que pase el tiempo estérilmente y no hacer -NADA-.

Así pasó la semana, haciendo que el tiempo que transcurriera fuese productivo, manteniéndome ocupada y riendo en los ratos libres en la cafetería de la universidad.
La verdad no se puede eludir, y los sueños nocturnos reiteran este dogma.
Noches leyendo sin cesar, pensando sin pensar, y sorprendiéndome a mí misma por lo que ocurría en los suburbios de mi mente.

Si algo sé, es que la paciencia tengo que practicarla más a menudo, y no ser tajante, ya que en los matices existe la esperanza.
Ni todo ni nada. Un poco cada día. Acostumbrada estoy a tener lo que quiero cuando quiero... y a que no me roben la razón...

Es muy posible que hace unos cuarenta días, no imaginara que fuese capaz de sentirme tan olvidada.
A veces, uno no sabe lo que puede llegar a sentir y se da cuenta cuando le rechazan.
Haciendo hincapié en que jamás había pasado por esa situación.
Incertidumbre, tristeza por miedo a perder algo que estaba haciendo que mi vida cobrase aún una forma más redonda, sorpresa por percibir un rechazo que no debería ser tan quebrador... y saber que no era yo la que podía actuar. Sólo quedaba esperar.

Esperando y evadiéndome, al final terminamos por hablar...
Puede que uno de los dos tuviese "pájaros en la cabeza" o estuviese "demasiado ilusionado y confuso"; pero yo NO.
Acostumbro a ser como una roca, nada me afecta si no es importante, si no es un mazazo o algo por el estilo, no hay rendija posible por la que el agua se adentre.
Quizá no llore, quizá no diga nada, pero sé lo que pienso, y sobre todo, sé cuando siento.

El tiempo es algo que no se mide en estos casos. Cada persona tiene un ritmo.
El mío ha sido exponencial. Lentamente creciente y de repente... la curva se acelera de forma exhorbitante.

Puede que uno de los dos se arrepienta, o se haya dado cuenta de que la rapidez no le conviene.
Pero...¿quién calcula a qué velocidad hay que ir? vayamos a la nuestra, (si tú quieres).

No seré yo quien deje de mostrarte como es, ni tampoco la que se niegue a dejarse llevar por lo que le pidan sus instintos.

Lo complejo se construye a partir de lo sencillo.

Un saludo preguntándote qué has hecho hoy; unos minutos de skype viendo a tu gato deambular por la habitación y que me digas "¡señorita!" o "descansa fea"; ver cómo cocinas mientras estoy en mi habitación leyendo apuntes para el examen; preguntar por tu familia; interesarme por tus ilusiones y debatir sobre temas dispares que reiteradas veces tienen que ver con la economía (y me encanta); sentirme escuchada y no siempre ocurre, pero la mayoría de las veces me comprendes; decirte que hoy te ves atractivo y ver cómo te sorprendes por ello; hablarte sobre mi lista infinita de deseos por cumplir... y de vez en cuando, que me alegres (si cabe), aún más la noche con una sonrisa precavida; escuchar tu respiración; sentir tu mano junto a la mía al caminar; rozar tu mejilla con la nariz y sonreír; abrazarte y descansar a tu lado; sentarme en el metro a esperar deseando comerte a besos; degustar una cena que has hecho sólo para mí...


No pido nada, sólo lo que esté por llegar.


Y las locuras que hayamos hecho, no las borraría ni por el libro más sagrado de este mundo.





Leí una vez una frase que en estos momentos cobra sentido al fin:

"Los milagros comienzan a suceder cuando le das más energía a tus sueños que a tus miedos"
(No creo en los milagros, sólo en las consecuencias de nuestros actos).

Hay ciertos momentos mágicos, como cuando sientes que esa persona te toca, y te estorba la piel.
Me gusta saber que hay cosas refugiadas contra el olvido, cosas por las que no pasa el tiempo. Como esos secretos que no puedes contar jamás.
El recuerdo, es el único paraíso del que no podemos ser expulsados.

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